Comme son nom ne l’indique pas forcément, le groupe Hell’s Pearls vient de Bretagne, de Brest et Quimperlé plus précisément. Il est le fruit de la rencontre de trois passionnés de musique qui ont pour objectif de faire perdurer les sonorités hard rock et mélodiques des années des années 70 et 80. C’est une des raisons qui explique le recours à l’anglais dans leurs textes :“L’anglais à un rythme, une sonorité qui lui est propre et qui correspond parfaitement au style que nous souhaitons. Sans compter que c’est avec cette langue qu’il nous est possible de nous adresser au monde, c’est celle qui nous a bercée sur les douces sonorités des groupes de hard rock 70/80’s qui nous ont fait grandir” explique le groupe.
Leur univers musical s’inspire de leurs voyages et de leurs rencontres, mais aussi de nombreuses collaborations. Leur travail de composition repose sur des influences éclectiques et leur principal moteur reste la scène et le contact avec le public. Après une année consacrée à la sortie et à la promotion de leur album, le groupe est actuellement en train de planifier une tournée en 2023 qu’il espère la plus large possible.
“Long Forgotten time” raconte les tourments d’un homme ayant tendance à la schizophrènie, assaillit par ses “personnalités”, qui assombrissent son passé comme son futur et le rendent absent du présent.
Le trio est composé de Mitzy Maes à la guitare et au chant, de Ivy Feeder à la basse et au chant et de Syl à la batterie et au chant.
Le groupe a sorti un premier album en juin. Ce dernier est disponible sur les plateformes de diffusion streaming et des albums physiques sont en cours de pressage. “Guilty Pleasure” est le titre choisi par la formation pour leur premier clip vidéo. Nouméa City Rock a bien aimé également “Long forgotten time” que vous pouvez voir ci-dessous.
Si Hell’s Pearls affectionne la langue de Shakespeare, ce n’est pas uniquement que pour les sonorités, mais pour passer des messages complexes loin des “I love you baby”.
“Long Forgotten Time” raconte les tourments d’un homme ayant tendance à la schizophrènie, assaillit par ses “personnalités”, qui assombrissent son passé comme son futur et le rendent absent du présent. Une certaine redondance cyclique, des schémas dont il n’arrive pas à se défaire, l’entraine de plus en plus vers la démence. “Une sorte de miroir de la société dans laquelle nous sommes tous et qui pousse les gens à bout d’une certaine manière”, précise le trio. Tout au long de son histoire il est envahie par des voix, par une musique : The sound of freedom. Celle-ci le tire vers elle pour le libérer de la bonne ou de la mauvaise manière. Mais à la fin en tout cas, il se libère complètement. La question étant qu’elle voie à t il choisit ?
Vous trouverez peut-être la réponse en regardant le clip.
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